Jean Baptiste Cayeux 14 janv. 20211 min de lectureLes dessous de l’iceberg BOOST en 2020Celles et ceux qui me connaissent, le savent, j’adoooooore finir une journée, un week end, une année avec un petit bilan. Pendant la fin d’année, j’ai donc pris un certain plaisir à en lire un paquet sur LinkedIn. Et en même temps, il y a quelque chose qui m’a gêné. Beaucoup de bilans étaient très (voire trop) flatteurs, peu proposaient un regard critique et quasiment aucun évoquait des échecs.
Celles et ceux qui me connaissent, le savent, j’adoooooore finir une journée, un week end, une année avec un petit bilan. Pendant la fin d’année, j’ai donc pris un certain plaisir à en lire un paquet sur LinkedIn. Et en même temps, il y a quelque chose qui m’a gêné. Beaucoup de bilans étaient très (voire trop) flatteurs, peu proposaient un regard critique et quasiment aucun évoquait des échecs.
5 raisons de commencer ta carrière dans le sport business en agenceNovembre 2012, entretien téléphonique pour intégrer la Chaire Internationale de Marketing Sportif de l’ESSEC. « Paul-Edmond, quel serait ton métier idéal dans le sport d’ici 15 ans ? Je ne sais pas qu